Le projet du gouvernement italien de droite, dirigé par la Première ministre Giorgia Meloni, de relancer l’énergie nucléaire dans le pays, conformément à son programme électoral. Le gouvernement veut se débarrasser progressivement du charbon, du pétrole et du gaz, et miser sur les énergies renouvelables, mais aussi sur l’énergie nucléaire, qui garantit une production d’énergie continue et stable.

Le gouvernement ne compte pas utiliser de grandes centrales nucléaires classiques, mais plutôt des technologies nucléaires nouvelles et sûres, comme les petits réacteurs modulaires (SMR) et les réacteurs nucléaires de quatrième génération (AMR). Ces technologies sont plus flexibles, plus efficaces et moins polluantes que les anciennes.

Il t a créé une plateforme nationale pour un nucléaire durable, qui doit définir, en neuf mois, des lignes directrices pour la reprise éventuelle de l’énergie nucléaire en Italie et les opportunités de croissance de la chaîne industrielle nationale déjà présente dans le secteur. La première réunion de la plateforme a eu lieu le 21 septembre, en présence des représentants du gouvernement, de la Commission européenne et des experts du domaine.
la Première ministre Giorgia Meloni, de relancer l’énergie nucléaire dans le pays, conformément à son programme électoral. Le gouvernement veut se débarrasser progressivement du charbon, du pétrole et du gaz, et miser sur les énergies renouvelables, mais aussi sur l’énergie nucléaire, qui garantit une production d’énergie continue et stable. Le gouvernement ne compte pas utiliser de grandes centrales nucléaires classiques, mais plutôt des technologies nucléaires nouvelles et sûres, comme les petits réacteurs modulaires (SMR) et les réacteurs nucléaires de quatrième génération (AMR). Ces technologies sont plus flexibles, plus efficaces et moins polluantes que les anciennes.

Le gouvernement a créé une plateforme nationale pour un nucléaire durable, qui doit définir, en neuf mois, des lignes directrices pour la reprise éventuelle de l’énergie nucléaire en Italie et les opportunités de croissance de la chaîne industrielle nationale déjà présente dans le secteur. La première réunion de la plateforme a eu lieu le 21 septembre, en présence des représentants du gouvernement, de la Commission européenne et des experts du domaine.
Des critiques contre ce projet de la part des partis écologistes de gauche, tels que Europa Verde, qui ont manifesté devant le siège du ministère de l’Environnement et de la sécurité énergétique avec une banderole sur laquelle on pouvait lire : « Le nucléaire, un désastre assuré ».