L’Accord de Paris (COP21) a permis la reconnaissance décisive en vertu de l’article 8 que «l'importance d'éviter, de minimiser et de remédier aux pertes et aux dégâts». Doit est au centre du débat dans les négociations climatiques. Cette intégration du mécanisme de Varsovie a été largement célébré en tant que consentement des pertes et des dommages en tant que troisième pilier distinct dans la CCNUCC, aux côtés des mesures d'atténuation et adaptation.

Ce fut l’un succès majeur de la négociation pour les pays en développement qui se sont mobilisés pour sa prise en compte en tant qu’outils pour lutter les effets néfastes du changement climatiques une reconnaissance par toutes les parties que la perte et le dommage ne peuvent être inclus dans l'adaptation.

Le paragraphe 52 de la Décision de Paris expose que l'article 8 n'implique ni ne constitue une base pour aucune responsabilité ou compensation. Cela a été une demande clé pour les pays développés, en particulier la États-Unis: en effet, le secrétaire d'État John Kerry avait déclaré que la réduction des pertes et des dégâts causés par un problème de compensation permettrait d’affaiblir l'accord. Les pays en développement ont accepté cette réserve en échange de l’objectif consistant à limiter à 1,5 ° C la température par rapport aux niveaux préindustriels dans l'accord de Paris. Bien que la langue utilisée au paragraphe 52 soit sans ambiguïté, son inclusion dans la Décision de Paris signifie qu'elle n'a pas le même effet.